Du boulodrome au musée

Exposer un peintre du XIXe siècle dans un lieu dédié au jeu de boules nécessite à l’évidence certains aménagements…La première chose est de réaliser un écrin suffisament agréable pour magnifier er les œuvres et respecter les codes d’une exposition de peinture classique. Le choix de murs en tissu tendu permit de réaliser des applats de couleur à la fois joyeux et chaleureux, tout en étant bon marché, l’exposition étant temporaire. Après un accueil coloré, le visiteur traversait un couloir chronologique sombre, afin n que sa rétine s’élargisse pour permettre un choc visuel à la vue des premières œuvres

Une exposition réalisée en duo avec Claire Gabillon

 

Une envie d’être plus contemporain nous poussa à réaliser un vidéogramme proposant un aller-retour entre les paysages dessinés au XIXe et les paysages d’aujourd’hui ;nous retrouvames les lieux exacts où le peintre avait posé son chevalet, pour y poser notre caméra. 

 

Montrer son important travail de gravure lithographique nous posait un problème. Les murs ne pouvaient accueillir qu’une quinzaine de cadres alors que sa production contenait plus d’une centaine de pièces. La solution fut de créer un cabinet de lecture confortable, et de fixer à la table des reproductions de haute

qualité manipulables par le visiteur. Les originaux étaient présentés sous cadre au mur. 

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